La sixième édition du guide des "Bonnes petites tables du guide Michelin 2012" met à l’honneur 124 nouvelles adresses à moins de 29€ en province et de 35€ à Paris.
En ouverture : Luc Giorsetti, et son second David Cohn, dans la cuisine du restaurant "Aux bons enfants à Cannes"GUIDE. En attendant la parution du guide Michelin France 2012, dont le nouveau palmarès sera dévoilé le lundi 27 février, le guide des "Bonnes petites tables du guide Michelin 2012" présente tous les restaurants auréolés de la distinction du Bib gourmand.
Au nombre de 630 dans toute la France, dont 124 nouvelles adresses sélectionnées en 2012, ces bonnes petites tables sont des adresses « coup de coeur » des inspecteurs. Parfois méconnues, mais de plus en plus nombreuses (+ 140 en six ans), ces tables font le plaisir des lecteurs du guide Michelin, quels que soient les types de cuisine, du terroir à la cuisine de bistrot branché, de l’exotique à la cuisine très inventive, avec toujours le respect de la qualité et du budget.
Côté pratique, le guide, illustré de photos, se découpe en 21 régions, dans lesquelles les communes sont classées par ordre alphabétique. Sur chaque page sont présentés deux établissements avec de nombreuses informations pratiques : coordonnées, style de cuisine, type de décor, exemple de spécialités, équipements et les services utiles. Le tout agrémenté de commentaires sur la personnalité de la cuisine et l'ambiance des lieux. Dans notre région Provence-Alpes-Côte d'Azur, 58 "Bib gourmand" sont à découvrir, dont 7 nouvelles tables, dans les Hautes-Alpes, Le pêché gourmand 2, route de Gap à Briançon, dans les Alpes-Maritimes, Aux bons enfants 80, rue Meynadier à Cannes, Bistrot d'Antoine 27, rue de la Préfecture à Nice, Auberge Le Robur rue Centrale à Roure, Les mélèzes à Casterino (petit hameau sur commune de Tende), La litote 5, rue de l'Évêché à Vence et dans le Vaucluse, Coteaux et fourchettes route de Violès à Cairanne.
Restaurant La Litote à Vence•
Bonnes petites tables du guide Michelin 2012
488 pages. 17,90€.(photo Gérard Bernar)